Cette année, direction Rayol-Canadel, un petit village sur la côte varoise, avec pour objectif de profiter du calme, malgré la date et le lieu choisis sur la côte méditerranéenne…
Nous sommes partis des environs de Grenoble un dimanche, en évitant soigneusement de prendre l’autoroute. Direction donc le Trièves, le col de Lus-la-Croix-Haute… Circulation très fluide.
Nous avons fait une petite halte pour pique-niquer et nous rafraîchir en nous baignant dans le Buëch à la hauteur d’une petite retenue, avant de repartir.
Puis après environ 1 heure de route, dont une portion d’autoroute, de Sisteron à Oraison, nouvelle pause cette fois-ci à Oraison, autour d’un café et d’une glace sous les platanes. Et nous voilà repartis pour notre destination du jour, la Villa Joséphine, à Lorgues, (83), par les petites routes pittoresques du parc naturel régional du Verdon.
Halte au calme. La maison, pleine de charme, est dans un cadre idyllique. La piscine, (à 29 °), et le jacuzzi ont été particulièrement appréciés. Nous aurions apprécié nous détendre dans un hamac installé au bord de la piscine ou dans le jardin, voici notre conseil en tant qu’amateur de farniente !
Nous avons pris notre dîner, tiré du sac, sur la terrasse, devant notre chambre, au bord d’un petit jardin. Les propriétaires proposent aussi le repas, avec une réservation d’au moins 24 h. Le lendemain, au petit déjeuner, nous discutons un moment avec le patron avant de repartir, toujours par les petites routes pour notre destination finale, Rayol-Canadel. La dernière portion, entre Cogolin et notre destination, au milieu du massif des Maures, est charmante. Attention, la route est très étroite, et c’est particulièrement difficile de se croiser.
Vers midi, nous voici arrivés à destination. Rayol-Canadel est un village-jardin, avec ses magnifiques villas blotties dans la forêt des Maures, ou sur la côte rocheuse donnant sur la mer. C’est le domaine des lauriers roses, des chênes lièges, des eucalyptus… La végétation méditerranéenne dans toute sa splendeur. Les plages sont dans de petites criques. C’est très calme. On a très largement la place pour poser sa serviette…
La voie verte, réservée aux piétons et cyclistes, qui longe la côte des Maures en utilisant le tracé d’une ancienne voie ferrée est une vraie bénédiction. Nous n’avons pas utilisé notre voiture de tout le séjour ! Il suffit de la suivre pour accéder aux différents chemins, qui mènent aux différentes petites plages. On se promène plutôt à l’ombre, au calme, dans un cadre charmant.
Le jardin botanique permet de passer une agréable demi-journée, soit en déambulant au hasard le long des chemins, à la découverte de différents jardins d’essences méditerranéennes ou beaucoup plus exotiques. Pour ceux qui souhaitent plus de détails, des visites guidées sont organisées.
Nous avons eu un coup de cœur pour notre repas à l’hôtel-restaurant “Le relais des Maures”. C’est un établissement qui privilégie la qualité des produits, qui cherche des fournisseurs locaux, respectueux de l’environnement. La cuisine traditionnelle est de qualité, et le rapport qualité-prix satisfaisant. La patronne est très impliquée dans la qualité des repas et du service.
Cet article a été rédigé par Caroline et François, mes parents !
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